Virginie Pfanner, conseillère régionale, apporte son soutien au plan Environnement porté par Eric Fournier. Un plan essentiel pour la Région Auvergne Rhône Alpes, mettant en avant des valeurs centristes.
Intervention de Virginie PFANNER
Monsieur le président, Mes chers collègues,
Ce rapport constitue la mise en œuvre d’un nouveau cadre d’action régional sur l’ensemble des thématiques environnementales – hors PNR qui font l’objet d’un rapport séparé ;
C’est un rapport ambitieux et fondateur car il enclenche un nouvel élan pour les actions en faveur de l’environnement et des énergies renouvelables et décarbonées;
Ce rapport est probablement le plus important du mandat dans le domaine du développement durable, si l’on fait abstraction du fait que nombre de nos autres engagements essentiels, je pense à notre budget dédié au transport ferroviaire et collectif ou à celui de la rénovation de nos lycées, en relèvent plus ou moins directement ;
Il s’inscrit en effet pleinement, voire au-delà des objectifs inscrits dans la Loi de Transition Energetique de 2015 et a vocation à faire de notre région une collectivité exemplaire et leader en matière de transition énergétique et écologique
Comme l’a indiqué le vice-président Fournier, ce rapport cadre est réparti en 5 volets pour une application triennale, ce qui signifie qu’il détermine l’action régionale dans ce domaine jusqu’à la fin du présent mandat ;
Au-delà des objectifs et des intentions qui sont nécessaires mais jamais sufisants, il faut noter l’effort financier significatif puisque l’engagement régional est porté à 200 M sur la période. Quoi qu’en disent certains, la progression est nette, notamment en section d’investissement :
Je ne reviendrai pas sur le contenu des 5 volets de ce plan cadre équilibré et dynamique ;
Il faut saluer la clarté de l’exposé général, celle des intentions mais aussi la précision des annexes ;
Ce plan cadre n’est pas une fin, c’est un début, un nouvel élan offert à et par la collectivité régionale, sachant que les préoccupations dites « environnementales » sont tout sauf secondaires ;
On le voit bien avec la problématique de la qualité de l’air, conséquence des activités humaines sur le milieu mal maitrisées, qui a longtemps été considérée sous l’angle environnemental et qui est devenu depuis une dizaine d’années un sujet majeur de santé publique.
Pour terminer, je veux souligner le fait que ce plan d’actions est un plan marqué par une très forte empreinte centriste : car il est porté par l’un de nos plus éminents représentants et car l’attachement aux questions environnementales fait partie de nos priorités ;
Nous ne vous étonnerons donc pas en affirmant notre soutien indéfectible à ce plan cadre !`
Assemblée plénière des 14 et 15 juin 2018